CONCERT DU 4 DECEMBRE 2015 / MODE FOR USE
Djieu mes p’tits roudoudoux (faut qu’j’meu calme, j’ai honte de mon écrivage),
On va pas y aller par quatre chemins, voilà comment que va se passer not’petite sauterie de vendredi.
D’abord, on chante en premier, j’en suis sûr. Y faut quand même dire aussi qu’on chante en deuxième, puisqu’on chante tout. (caisse konss’marre)
Message aux hommes forts : les estrades sont à venir quérir (tu oua Gégé, j’connais aussi des bons écrivages) à 18H dans l’espace. Oui 2000.
Il faut aussi les installer, et là, y faut se pointer vers les 18H30 pour visser.
DEBUT DE LA REPETITION : 18H45
Lieu pour revêtir l’habit de lumière : SALLE DES FARTOZ, au-dessus de la mairie.
Comment qu’on s’habille ? non, j’déconne, j’en ai marre de rabacher.
Je dis rien pour me moquer des nouveaux qui viendraient habillés en vert et orange.
Un indice quand même : c’est assez globalement noir, avec un accessoire de couleur qui dépend dans quel pupitre on chante (et non pas celui dont on emprunte malheureusement trop souvent la mélodie, celui où on est physiquement).
On oublie pas l’encas dit « de tante Marie », genre pâté en croute ou quiche, et surtout on oublie pas le blanc qui éclaircit la voix et libère les idées.
Et la bouffe me diras tu, cher lecteur du fond de la salle ? C’est bien bo de chanter, mézilfo ossi se restaurer…
Eh ben, pour le coup, on aura l’encas dit « de tante mairie » (ouai cé bon Gégé, j’t’ai vu), puisque c’est notre chère municipalité qui nous offre sa célèbre soupe au caillou. Même si je crains, vu l’heure tardive, qu’il ne reste plus que le caillou. Et une mandarine et des papillotes (oué, celles avec des pétards ?).
Maame Marie, elle a dit de rien apporter à manger ou boire, mais ceux qui apportent des trucs ne seront pas trop punis.
La liste des chants est par là au-dessous.
Je pense qu’on va bien se marrer.
A pouetos les loulous (il était temps que ça se termine)
Bizzzzz,
Thierry.