FINALEMENT, J’AI EU DU BOL
Salut les amigos,
La liberté d’expression est un sujet important semble-t-il.
Quand on fait suivre cette magnifique expression d’un « mais », il faut se méfier…
Au départ, ca parait anodin, genre « quand même, y a des choses qui faut pas dire », « ben c’est quand même un peu normal, faut pas chercher les ennuis. »
Et puis, petit à petit, on abandonne de plus en plus de liberté : qui va juger de ce qu’il faut dire ou écrire ?
Au début, ca parait jamais grave, « ouais, c’est juste qu’il faut pas dire certains trucs… », et pire même encore, quand on dit qu’il faut pas écrire certains trucs mais qu’on dit surtout pas lesquels…
Puis petit à petit, de proche en proche, on en arrive à ne plus pouvoir rien dire ni écrire.
L’actualité récente peut nous permettre de réfléchir ensemble aux conséquences désastreuses que provoque la suppression de la liberté d’expression, ou pire encore, « la liberté d’expression, mais… ».
A qui livrons nous les clés de ce qui est permis et ce qui ne l’est pas ? Qui décide ?
La liberté d’expression permet à toutes sortes de gens de s’exprimer : par exemple, je trouve totalement dégueulasse les textes des négationnistes. Pour autant, je ne suis pas obligé de lire leur vomi verbal, et si je le lis, je sais ce que je vais y trouver.
Je trouve qu’il est infiniment moins dangereux de laisser s’exprimer ce genre d’individu par exemple, que de mettre un « mais » après « liberté d’expression ».
Je ne sais pas si ce genre d’actualité macabre va donner à penser aux censeurs de tous poils, petits et grands censeurs… Je l’espère…
A vos commentaires, n’hésitez pas à intervenir, même si vous n’êtes pas d’accord.
Il n’est pas obligatoire d’être d’accord ou de parvenir à un consensus pour relationner avec les gens.
On peut discuter, ne pas être d’accord, et terminer une riche conversation sans que l’un ait pu convaincre l’autre.
A tchao,
Biz biz. T.