OBSCURANTISME, CHANTS ET VIEILLES PIERRES
Salut les cinglé(e)s du manéminéma,
Cette année le repas de la chorale sera remplacé par un doublé diabolique de mâtine et de vêpres, dans le saint des saints du fromage savoyard, l’abbaye de TAMIE.
Entre ces deux réjouissances hors du commun, nous nous flagellerons le dos avec une serpillière mouillée.
Pour ceux que ces réjouissances réjouissent, le car partira à 8h30 du parking du lac de la BALME.
Ensuite, et avant de nous consacrer aux délicieuses activités ci-dessus, il est prévu une visite du musée des cloches PACCARD vers 9h20. Y parait qu’on va même se faire sonner les cloches.
10h30 sonnera la départ des cloches (Jean Paul précise qu’il faut faire attention de ne pas en oublier une. Jean Paul, tu t’arrangeras directement avec ceux qui auront été oubliés)
11h00 chants à la chapelle de TAMIE. On a choisi une belle brochette de chansons paillardes qu’on entonnera en chœur avec les moines, tout en fabriquant du fromage.
La serpillière mouillée, les matines et les vêpres, c’était des couenneries, en vrai, ensuite c’est une fiesta du diable (Ces lignes concernent surtout ceux qui n’ont pas reçu le petit papier remis par François lors de notre répétition précédente):
1. Apéritif géant offert par le club pour tous, avec caviar et champagne à gogo.
2. Après y a repas tirés des sacs (cé comme ça qu’on dit)
3. Entrées et dessert en commun : Les sopranes apportent ce qu’elles veulent, les alti ce qu’elles ont envie, et les hommes, ce qui leur chante. Pour ma part, je ferais une… ta gueule !
4. Le plat de résistance, chacun ce qu’il veut. Et bon, là, heu… on partage pas. Et ho, c’est pas un kolkhoze non plus.
5. Le truc génial : après le repas on peut faire ce qu’on veut !
6. Retour prévu vers 18h00 au lac de LA BALME.
Pour lancer un peu les commentaires sur le blog, je voudrais vous soumettre une question métaphysique, à laquelle pour l’instant, je n’ai pas trouvé réponse. Mais peut-être certains d’entre vous pourront éclairer ma faible lanterne.
Souvent notre chef vénéré que les chorales du monde entier nous envient, nous dit avec un air entendu (il aime bien dire des trucs avec un air entendu) : « si vous ne notez pas ce que je viens de dire, vous ne vous en souviendrez plus pendant le chant, la semaine prochaine ». Ça peut-être un piano, ou bien un « mêêêêême » où il nous demande d’insister sur le « ê ».
Bon, jusque-là, il n’y a rien a dire (si, peut-être Alain trouverait quelque chose à dire. Si c’est le cas, je le laisse s’exprimer en cliquant sur « commentaire » ci-dessous).
Il n’y a donc, comme je disais, pour le commun des mortels, rien à dire.
Mais ensuite, quelques minutes après, il nous dit : « ne regardez pas votre partition, regardez-moi ! ».
Du coup, je me demande l’utilité de noter un truc qu’il ne faudra, ensuite, pas regarder.
Je soumets cette énigme à votre vif esprit, et espère vivement que d’aucun pourront m’aider à y voir plus clair.
En même temps, je me dis que ça vient surement de moi, car Alain, qui a relevé dans le passé des détails bien plus insignifiants (ha ben si, Alain !), n’a jamais bronché pour cette contradiction-là. Surement qu’il a compris la subtilité.
Voilà, les gens, bonne soirée à tous et rendez-vous à Tamié pour de nouvelles aventures.
À pouet,
Thierry.