STAGE DE CHANT CULTUREL ou la patate chaude et le gosier en pente
Oyez les buvichanteuses et les buvichanteurs,
Notre réputation n’est plus à faire, à l’évidence, car un chef de chœur et musicien de la BALME nous a enfin compris : on a besoin de vin pour chanter, chacun son carburant.
Le caviste qui organise la fiesta est sans doute venu écouter un de nos concerts, et a du se glisser subrepticement dans la salle de notre 3e mi-temps.
Et là, il a vu qu’il y avait un marché exceptionnel pour ses produits, un filon inépuisable.
Voilà le détail des festivités proposées (Je ne veux pas le dénoncer pour ne pas le mettre mal à l’aise, mais c’est François qui m’a passé l’information. Je ne vois absolument pas pourquoi le caviste s’est adressé à lui particulièrement. Sans doute parce que c’est le président de la chorale. En fait, il m’a dit que c’était le chef de chœur qui lui avait passé le document, mais je n’en crois absolument rien ).
Salut les gens,
Soyez forts et à mardi.
Thierry.
Beuverie avec excuses vocales