ERIC LE POÈTE
Bonjour à tous,
Vous le savez peut-être, le sort s’est acharné ces derniers mois sur les Basses : on compte pas moins de deux colonnes vertébrales capricieuses, une vessie qui se prend pour une lanterne, un bras en écharpe et une patte folle. Vaille que vaille, ces éclopés ont cependant fait bonne figure, donnant de la voix lors des répèts, et fiers et debout face au public lors des concerts.
En tant qu’éclopé de premier choix, et par solidarité envers mes frères d’infortune (auxquels je souhaite d’aller mieux), je vous propose une variante de la chanson « Un homme debout » que nous apprenons pendant cet humide intermède printanier.
Vous connaissez bien l’air maintenant ? Alors 1, 2, 3, c’est parti :
An-tidouleurs, pour tenir le coup
Il fait si froid au corps, quand j’ai mal partout
Il fut un temps où j'étais comme vous
Mais à l’heure du concert, je reste un homme debout
Priez pour, que je m'en sorte
Priez pour, que ma voix porte
Je suis une, Basse en compote
Qui vient chan-ter nos p’tites notes
Nous les Basses, C’est pas notre jour
On est en vrac, chacun son tour
Mais on chante, debout malgré tout
Éclopés, ou rescapés !
J'vous vois bosser, quand j'suis assis
Pour les estrades, pressés, j'apprécie
Je vous r’joindrai, quand s’rai remis
Quand y s’ra temps, quand je pourrai courir !
An-tidouleurs, pour tenir le coup
Il fait si froid au corps, quand j’ai mal partout
Il fut un temps où j'étais comme vous
Mais à l’heure du concert, je reste un homme debout
…
An-tidouleurs, pour tenir le coup
Il fait si froid au corps, quand j’ai mal partout
Il fut un temps où j'étais comme vous
Mais à l’heure du concert, je reste un homme debout
Priez pour, que je m'en sorte
Priez pour, que ma voix porte
Je suis une, Basse en compote
Qui vient chan-ter nos p’tites notes
An-tidouleurs, pour tenir le coup
Il fait si froid au corps, quand j’ai mal partout
Il fut un temps où j'étais comme vous
Mais à l’heure des répèts, je reste un homme debout
An-tidouleurs, pour tenir le coup
Il fait si froid au corps, quand j’ai mal partout
Il fut un temps où j'étais comme vous
Mais à l’heure du concert, je reste un homme debout
La la la la…
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-- envoyé par Eric